"Tout ce qui me reste se veut un hommage à ces lendemains de veille pénibles ou les souvenirs flous d’une soirée épique refont surface au compte goutte. Pas de remords ni regrets, nul n’est parfait, je dis assumons nos écarts! On peut bien se permettre de décrocher à l’occasion, si c’est fait dans les règles de l’art, y’a pas de quoi en faire un drame!"

''Des rythmes qui donnent envie de taper du pied et des mains, une musique pop aux accents résolument dub et reggae. Cette chaleur enivrante qui émane des chansons de RudeBecky donne envie de laisser les tracas derrière soi, ne serait-ce que le temps d’une chanson ou deux. Une ode à l’amour compliqué, il est difficile de ne pas sourire en écoutant la pièce « Ne me parle pas d’amour ». RudeBecky, c’est une célébration de l’art du lâcher-prise, du besoin de liberté, de l’envie de s’évader.''

"Des rythmes qui donnent envie de taper du pied et des mains, une musique pop aux accents résolument dub et reggae. Cette chaleur enivrante qui émane des chansons de RudeBecky donne envie de laisser les tracas derrière soi, ne serait-ce que le temps d’une chanson ou deux. Une ode à l’amour compliqué, il est difficile de ne pas sourire en écoutant la pièce «Ne me parle pas d’amour». RudeBecky, c’est une célébration de l’art du lâcher-prise, du besoin de liberté, de l’envie de s’évader."

''C’est donc en 2015 que le projet RudeBecky commence à prendre forme. Le duo s’apprêtent maintenant à faire leurs premiers balbutiements sonores au grand jour.''

"Invité à définir le son et les influences de cette première pièce et de l’album dont elle est tirée, ce dernier a eu ces quelques mots : « Il s’agit de pop francophone, bien sûr, avec des métissages de hip hop, de folk, de reggae et même de blues, notamment à travers certains passages de guitare électrique. C’est très éclectique, et aussi très libre »."